La fondatrice
Madame GENYER
1756 - 1839
Sa famille disparue,
ses richesses consacrées aux pauvres,
Madame GENYER devenait Mère Marie de Jésus.
Mais, plus que religieuse, elle allait devenir fondatrice.


Une demoiselle de Toulouse vient se présenter, suivie de deux autres.
La petite communauté commence à fonctionner en 1806.
« L'avenir est à la miséricorde ;
car sans elle, il n'y aura pas d'avenir.»

« Chaque Ordre religieux a son esprit particulier.
Pour nous, ayons surtout l'esprit de charité...
Ne se pardonner rien à soi-même, en fait de charité, et pardonner tout aux autres.»
Le soin des plaies, l'œuvre des orphelines, une congrégation de jeunes filles (formation chrétienne des jeunes filles), une école gratuite.
Mère Marie de Jésus
Les Oeuvres
Le soin des plaies, l'œuvre des orphelines, une congrégation de jeunes filles (formation chrétienne des jeunes filles), une école gratuite.
Les Maisons
Elle s'éteignit dans la nuit du samedi au dimanche, le 7 juillet 1839

Héritière de son Esprit, la Congrégation ouvrit de nouvelles maisons dans le sud de la France et dans le nord de l'Espagne.
Ses oeuvres se sont adaptées aux besoins d'aujourd'hui. Ensemble, Religieuses et Laïcs, tous se veulent responsables et garants du maintien des valeurs fondamentales, selon l'esprit de Mme Gényer
Ses oeuvres se sont adaptées aux besoins d'aujourd'hui. Ensemble, Religieuses et Laïcs, tous se veulent responsables et garants du maintien des valeurs fondamentales, selon l'esprit de Mme Gényer
Aujourd'hui
Les associations religieuses accueillent les malmenés, les blessés de la vie pour les soutenir, les aider à retrouver le goût de vivre, leur dignité et travaillent à leur redonner une place dans la société.
Voir, Entendre, Aimer et Remettre debout
(selon Exode, 3 v. 9)... ce sont toujours les actes de Miséricorde, à notre portée.
Dieu se présente comme le Défenseur du pauvre, de la veuve et de l'orphelin, ce sont ses privilégiés.
Et nous ? ... "Ephraïm est-il donc pour moi un fils si cher, un enfant tellement préféré pour qu'après chacune de mes menaces je doive toujours penser à lui, et que mes entrailles s'émeuvent pour lui, que pour lui déborde ma tendresse."
(Jr 31, 20)
(selon Exode, 3 v. 9)... ce sont toujours les actes de Miséricorde, à notre portée.
Dieu se présente comme le Défenseur du pauvre, de la veuve et de l'orphelin, ce sont ses privilégiés.
Et nous ? ... "Ephraïm est-il donc pour moi un fils si cher, un enfant tellement préféré pour qu'après chacune de mes menaces je doive toujours penser à lui, et que mes entrailles s'émeuvent pour lui, que pour lui déborde ma tendresse."
(Jr 31, 20)